NOVEMBRE ASTRESNouvelle lune le 10 à 0h03.
Pleine lune le 24 à 15h30.
Lever du soleil le 1er à 7h38, le 15 à 8h00, le 30 à 8h22.
Coucher du soleil le 1er à 17h30, le 15 à 18h09, le 30 à 17h56.
FRAIPresque tous les salmonidés.
POTINSLa fête de tous les saints ?
Le 1er c'est la toussaint, alors bonne fête aux saint Bol, saint Bal, saint Taxe, saint Galet, et que le saint esprit nous pardonne, embrassons aussi tous les autres seins, les petits, les gros, les pointus, les ronds.
Mais toujours avec modération...
DICTONSA la saint-Hubert, les oies sauvages fuient la terre.CUEILLETTECHAMPIGNONS: C'est la fin des tricholomes, et le début pour le pied bleu.
Les pieds de moutons et divers polypores, les trompettes de la mort, résistent à l'arrivée du froid.
DIVERS: Recueillir les baies de genévrier (excellentes dans la charcuterie et dans la choucroute), pissenlits.
RECETTE Poires glacées à la binouze4 portions
Préparation : 10 minutes
Cuisson : 20 minutes
Ingrédients
341 ml de bière blanche
250 ml de sirop d'érable
250 ml de gelée de pomme
4 poires pelées
Préparation
Dans une casserole, amener la bière à ébullition et laisser
réduire de moitié. Incorporer le sirop d'érable, la gelée de pomme et les poires ; couvrir et
laisser mijoter à feu doux 10 à 12 minutes en retournant les poires si nécessaire.
Retirer les poires et les déposer sur une grille si possible. Remettre le sirop à chauffer et laisser mijoter
jusqu'à l'obtention d'un sirop épais. Napper les poires de ce sirop.
Servir les poires tel quel avec le sirop ou sur une crème anglaise.
LE POISSON DU MOISLe goujon Le goujon commun est l’une des espèces les plus nombreuses et les plus répandues du genre Gobio. C’est un petit poisson au corps fuselé. La bouche ventrale porte deux barbillons.
Le dos du goujon est brun à verdâtre, les flancs gris-blanc sale, parfois tirant sur le jaune. Les nageoires dorsale, caudale et pectorales sont gris-jaune avec plusieurs rangées de taches foncées bien délimitées.
La croissance est lente le goujon n’atteint 10 à 15 cm qu’au bout de 5 à 6 ans. La maturité sexuelle survient vers 2 à 3 ans. La fraie a lieu d’avril à juin dans une eau à 12—18 °C, courante, parfois immobile, sur un fond sableux. Les mâles se couvrent alors de gibbosités. La ponte se déroule en 3 à 4 fois séparés par des intervalles d’une semaine environ. Les oeufs sont agglutinés en petits paquets. Le développement embryonnaire dure 6 à 10 jours selon la température de l’eau. Les alevins se tiennent près du fond où ils trouvent leur nourriture (infusoires, rotifères, larves de crustacés). A mesure qu’ils grandissent, les jeunes goujons s’intéressent à des proies plus conséquentes : larves de trichoptères, de chironomes, parfois des végétaux.
Le goujon vit à tous les niveaux des rivières, dans les trous d’eau, les étangs, les lacs de barrage. Il supporte même les eaux légèrement saumâtres de la Baltique septentrionale et orientale. Il se contente même de petits creux dans les ruisseaux. Lorsqu’il est dérangé, il se dissimule sous les berges affouillées, entre les pierres, dans les racines. Il peut former des populations très nombreuses dans les étangs à carpes et faire concurrence aux carpillons.
Le goujon ne présente pas d’intérêt économique. Il sert d’appât aux pêcheurs et de proie aux poissons carnassiers.
Longueur: 10—12 cm, maximum 22 cm.
Fécondité: 1000—3000 oeufs.