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Bravo à Bouricot 81 pour sa très jolie carpe !!! Le Petit Coin Régional
La Cité de Carcassonne
Volume 1
La Cité de Carcassonne est un ensemble architectural médiéval se trouvant dans la ville frontière de Carcassonne,
dans le département de l'Aude et donc, dans la région du Languedoc-Roussillon.
Elle est située sur la rive droite de l'Aude, au sud-est de la ville actuelle et comprend un château
(le château comtal) et une basilique (la basilique Saint-Nazaire).
Cette Cité médiévale fortifiée, dont les origines remontent à la période gallo-romaine, doit sa renommée à sa
double enceinte, atteignant près de 3 km de développement et comportant cinquante-deux
tours, qui domine de manière spectaculaire la vallée de l'Aude.
Sauvée de la destruction puis restaurée au XIXe siècle de manière parfois controversée sous la direction de Vollet-le-Duc,
la Cité de Carcassonne est, depuis 1996, classée au Patrimoine Mondial de l'UNESCO.
Le château comtal, les fortifications et les tours appartiennent à l'État et sont gérés par le centre des monuments
nationaux, tandis que les lices (palissades entourant des fortifications) et le reste
de la Cité font partie du domaine municipal.
1. Emplacement Géographique
La Cité de Carcassonne est située sur la rive droite de l'Aude, en surplomb de la ville de Carcassonne, située à l'ouest.
Elle se trouve entre la Montagne Noire et les Pyrénées, sur l'axe de communication allant
de la mer Méditerranée à l'océan Atlantique.
La présence des deux montagnes forme le couloir carcassonnais souvent cité lorsque
les climatologues parlent du vent qui souffle dans ce couloir.
Cet emplacement est donc un lieu stratégique du sud de la France, permettant de surveiller cet axe de communication majeur :
au nord vers la Montagne Noire, au sud vers les Corbières, à l'ouest vers la plaine de Lauragais
et à l'est la plaine viticole vers la Méditerranée.
La Cité est construite au bout d'un petit plateau constitué par le creusement de l'Aude à environ
150 m d'altitude, au dessus de la ville basse.
La première enceinte construite par les Wisigoths suit les dépressions du terrain.
Ce plateau se détache du massif des Corbières sur la commune de Palaja, à 260 m d'altitude, passe
dans la Cité à 148 m et fini sa course dans l'Aude à 100 m.
Du coté ouest, la pente est assez raide, offrant un accès difficile à d'éventuels assaillants.
À l'est, la pente est plus douce et permet un accès aisé des marchandises mais aussi des attaquants.
Aussi, les plus importants mécanismes de défense se trouvent de ce côté de la Cité.
2. Histoire de la CitéLa Cité à été successivement un site préhistorique, une cité gallo-romaine, une place forte wisigoth,
un comté, puis un vicomté, puis finalement une sénéchaussée royale.
Chacune de ses étapes, entre la période romaine et la fin du Moyen-Âge, a laissé
des témoignages dans les bâtiments qui la composent.
a. Des Gallo-romains aux Wisigoths
Des restes d'un oppidum fortifié, oppidum de Carcaso proche de l'emplacement actuel de la Cité,
ont été mis à jour par des fouilles archéologiques.
Ce lieu est déjà un important carrefour commercial, comme le prouvent des restes de céramiques et d'amphores.
Vers 300 avant J.C, les Volques Tectosages prennent possession de la région et fortifient l'oppidum de Carcaso.
Pline l'Ancien mentionne l'oppidum dans ses écrits sous le nom de
Carcaso Volcarum Tectosage.
En 118 avant J.C, les Romains s'emparent du lieu occupé par les Volques Tectosages et continuent de fortifier l'oppidum.
Ils annexent ensuite la région, qui sera intégrée dans la colonie Narbonnaise.
À partir du IIIe siècle, la ville se retranche derrière une première série de remparts.
Ces remparts sont encore visibles dans certaines parties de l'enceinte et servent de soubassement aux actuelles murailles.
Au milieu du Ve siècle, les Wisigoths prennent possession du Languedoc, grâce probablement
à la victoire d'Ataulphe pendant sa marche sur Toulouse.
La Cité jouit peu à peu d'une relative paix politique jusqu'au règne d'Alaric II.
En 507, les Francs chassent les Wisigoths d'Aquitaine mais ces derniers conservent la Septimanie dont fait partie la Cité.
En 508, Clovis lance en vain une attaque contre la Cité.
En 585, une nouvelle attaque de Gontran, roi Franc de Burgondie, est couronnée de succès.
Mais les Wisigoth reprennent la Cité peut après et en restent maîtres jusqu'en 713.
Au cours du VIe siècle, Carcassonne devint, avec Agde et Maguelonne, le siège d'un évêché.
Une cathédrale wisigothique, dont l'emplacement est inconnu, est alors construite.
En 725, le Wali Ambisa prend Carcassonne à la suite de la conquête du royaume wisigoth d'Espagne, par les musulmans.
La Cité reste entre les mains des musulmans jusqu'en 752, date à laquelle elle est reprise par les Francs, conduits par Pépin le Bref.
C'est cet épisode qui inspira aux auteurs de l'histoire, la légende de Dame Carcas selon laquelle
le nom de la ville de Carcassonne daterait du début du IXe siècle.
Au moment des faits, la ville aurait été Sarrasine.
Charlemagne en aurait fait le siège, mais la maitresse des lieux, Dame Carcas, aurait fort résisté.
Les deux armées seraient devenues affamées.
Tandis qu'il n'aurait resté qu'une mesure de blé et un petit cochon dans la Cité, Dame Carcas aurait
eu l'idée de démoralisé ses adversaires.
Le porcelet aurait été engraissé, puis projeté par dessus les remparts.
Pensant que la ville avait beaucoup de nourriture, Charlemagne aurait fait lever le siège.
À ce moment, Dame Carcas aurait fait sonner les trompettes et, Charlemagne revenant
sur ses pas, Dame Carcas lui aurait proposé la paix.
D'où l'expression Carcas sonne.
Historiquement, la reconquête des terres du Languedoc par Charlemagne remonte à Pépin le Bref, au milieu du VIIIe siècle.
b. L'Époque Féodale
Le début de la féodalité s'accompagne par l'expansion de la ville et de ses fortifications.
Elle est aussi marquée par la construction de la cathédrale à partir de 1096, puis par celle du château comtal au XIIe siècle.
C'est aussi la période des comtes de Carcassonne, dont la charge est d'administrer la région pour le compte du royaume Carolingien.
En 1208, la famille Trancavel prend possession de la ville avec l'arrivée d'une nouvelle religion, le Catharisme, qui aura, non seulement beaucoup d'adeptes, mais aussi la protection du vicomte Bernard Aton IV Trancavel.
Carcassonne devient vite une terre d'hérésie aux yeux du Pape.
En 1107, les carcassonnais rejettent la suzeraineté du vicomte Bernard Aton IV Trancavel et malgré deux révoltes
pour le chasser, il réussit à rétablir l'ordre et en 1130, il ordonne le début de la construction
du château comtal et la réparation des remparts.
La Cité est entourée de sa première fortification complète.
En 1208, le Pape Innocent III, confronté à la montée du Catharisme, appelle les barons du nord à se lancer dans
la croisade, qui sera dirigée par Simon de Montfort, qui assiègera la Cité.
Ainsi, le vicomte de Trancavel se rend, se fait prisonnier et meurt de dysenterie dans la prison même de son château.
Les terres sont désormais attribuées à Simon de Montfort qui, après sa mort, les léguera à son fils,
malgré les nombreuses convoitises.
N'ayant pas assez d'ambition pour garder ses terres, il les cédera finalement à Louis VIII de France, qui
les intégrera au domaine royal en 1226, après la 2ème croisade.
c. L'Époque Royale
En 1240, Raimond Trancavel tente de récupérer la Cité, avec l'aide de quelques seigneurs.
Ralenti par les enceintes de la ville et par la garnison du Sénéchal Guillaume des Ormes, Raimond Trancavel est
bientôt obligé de lever le siège et de prendre fuite face à l'arrivée des renforts du roi Louis IX.
En 1247, il renonce devant le roi Louis IX à ses droits sur la Cité.
La Cité de Carcassonne est définitivement rattachée au royaume de France et est désormais gouvernée par des sénéchaux.
À compter de cette date, la place forte n'est plus attaquée, y compris durant la guerre de Cent Ans,
grâce à de nombreux travaux d'aménagements et d'agrandissements, sous les
règnes consécutifs de Philippe III et de Philippe le Bel.
En 1258, le Traité de Corbeil fixe la frontière entre la France et l'Aragon près de Carcassonne, dans les Corbières,
avec la renonciation de Louis IX à sa suzeraineté sur la Catalogne et le Roussillon.
Désormais, la Cité joue un rôle majeur dans le dispositif de défense de la frontière et devient, au XIIIe siècle,
l'une des places fortes les mieux pourvues de France.
À la fin du XIVe siècle, la Cité n'est plus capable de résister aux nouvelles armes à poudres, mais reste
néanmoins un atout stratégique grâce à sa situation frontalière.
En 1240, de l'autre côté de l'Aude, une nouvelle ville dite basse se construit sous forme de bastide, mais sera dévastée à
feu et à sang en 1335, par le prince noir, qui n'osa pas s'attaquer à la Cité, trop puissamment défendue.
La Cité devient prison d'État au XVe siècle, dans laquelle sont enfermés les ennemis du roi comme Jean d'Armagnac.
Peut après, la Cité connaît une période noire avec l'arrivée de la Peste, en 1557, qui décime les habitants et l'attaque des
huguenots, en 1585, heureusement repoussée par les " mortes-payes" (troupes de garnison du roi).
Entre 1560 et 1630, durant les guerres de religion, la Cité reste un dispositif militaire très important pour
les catholiques, malgré de nombreuses attaques de la part des protestants.
La mort de Henry III déclenche des affrontements entre les habitants de la ville basse fidèle à Henry IV,
son successeur légitime et le duc de Montmorency.
La Cité refuse de reconnaître le roi et prendre le parti de la Ligue.
De violents combats s'étalent sur près de deux années mais finissent par se calmer et en 1592,
les habitants de la Cité se rallient enfin au roi.
d. L'Abandon de la Cité
Le XVIIe siècle marque le début de l'abandon de la Cité.
En 1657, la juridiction en place à Carcassonne, est transférée dans la ville basse.
En 1659, la Cité de Carcassonne perd sa position stratégique à la suite de la signature du Traité des Pyrénées qui rattache le Roussillon à la France et fixe la frontière entre la France et l'Espagne, à son emplacement actuel.
La Cité est progressivement abandonnée par ses habitants les plus aisés et devient un quartier pauvre occupé par les tisserands.
Les lices sont progressivement occupées par des maisons et la Cité se dégrade rapidement.
Sous l'Ancien Régime puis sous la Révolution, la Cité est réduite sur le plan militaire au rôle d'arsenal, entrepôt d'armes
puis de vivres puis, entre 1804 et 1820, est rayée de la liste des places de guerre et abandonnée.
Reclassée en seconde catégorie, la ville haute perd son autonomie municipale et devient un quartier de Carcassonne.
Le château comtal est transformé en prison et l'armée est alors prête à céder la Cité aux démolisseurs.
3. La Restauration de la Cité
Pour les habitants de Carcassonne, la Cité médiévale, située sur une butte difficile d'accès avec ses ruelles étroites et ses lices
et remparts vétustes, constitue désormais un quartier peu attrayant auquel s'oppose la ville nouvelle
formée par la bastide Saint-Louis ou ville basse.
La désaffection des habitants pour la Cité entraîne sa détérioration.
La destruction de la Cité médiévale est alors programmée.
a. Le Sauvetage de la Cité
La cité est sauvée de la destruction totale par Jean-Pierre Cros-Mayrevieille, notable et historien, habitant au pied de la Cité.
Dès 1835, il s'émeut de la destruction de la barbacane (meurtrière étroite), dont
les pierres étaient pillées par les entrepreneurs locaux.
L'architecte Eugène Viollet-le-Duc, qui avait commencé la restauration de l'église Saint-Nazaire,
est chargé d'étudier la restauration de la Cité.
En 1840, l'église Saint-Nazaire, à l'intérieur de la Cité, passe sous la protection des monuments historiques.
Cette protection est étendue à l'ensemble des remparts en 1862.
En 1853, Napoléon III approuve le projet de restauration et en 1855, les travaux commencent par la partie
ouest/sud-ouest de l'enceinte intérieure, pour se poursuivent sur les tours de la porte
Narbonnaise et l'entrée principale de la Cité.
En 1879, Eugène Viollet-le-Duc laissera, à sa mort, de nombreux croquis et dessins de la Cité et de ses modifications.
En 1889, la restauration de l'enceinte intérieure est terminée et les travaux de restauration du château comtal commencent.
En 1902, les travaux d'envergure sont achevés et les alentours de la Cité sont aménagés et dégagés.
En 1911, les dernières maisons présentes dans les lices sont détruites et les travaux
de restauration sont considérés comme terminés en 1913.
Malheureusement, seul 30% de la Cité seront restaurés.
b. Une Restauration Controversée
Dès 1850, les restaurations d'Eugène Viollet-le-Duc sont fortement critiquées.
Ses détracteurs comme Hippolyte Taine, dénoncent la différence entre les parties neuves et les parties
en ruine, considérant que ces dernières ont plus de charme.
D'autres regrettent le caractère trop gothique ou la mauvaise reconstruction des fenêtres et des portes des tours wisigothes.
Mais c'est surtout les choix effectués pour la restauration des toitures qui furent critiqués.
Viollet-le-Duc, fort de ses expériences de restauration sur les château du nord de la France, choisit de faire coiffer
les tours d'une toiture conique couverte d'ardoises, contrastant avec les toitures plates et
couvertes de tuiles romanes des châteaux de la région.
Ce choix avait pour lui une logique historique, car Simon de Montfort et les autres chevaliers qui
participèrent à la croisade des Albigeois, venaient tous du Nord.
Il n'est pas impossible que ces nordistes aient ramenés avec eux leurs propres architectes et techniques.
De plus, Viollet-le-Duc retrouva de nombreux fragments d'ardoise lors ses restaurations.
C'est pour cela qu'aujourd'hui, on peut observer différents types de toitures dans la Cité de Carcassonne.
Cependant, malgré ses erreurs, on considère aujourd'hui qu'Eugène Viollet-le-Duc a effectué un travail d'architecture remarquable
qui a permis de restituer aux visiteurs, une image cohérente sinon fidèle de la Cité de Carcassonne.
Le Mois Prochain : La Cité de Carcassonne, Volume 2.
La Recette du Mois
Bavarois aux Fruits des Bois
Fait à l'occasion de la fête des pères, ce gâteau est doux, léger, savoureux, avec une
mousse aérienne qui, en toute occasion, plaira à coup sûr !!!
Ingrédients :
Pour les biscuits cuillères :
100 g de farine
100 g de sucre
3 oeufs
colorant alimentaire rose
Pour le disque de biscuit :
100 g de farine
100 g de sucre
3 oeufs
1 sachet de sucre vanillé
Pour la mousse aux fruits rouges :
400 g de fruits rouges frais ou surgelés
150 g de sucre
5 feuilles de gélatine
15 cl d'eau
40 cl de crème fraîche liquide et entière
1 sachet de fixe chantilly
1 sachet de sucre vanillé
gelée de framboises
Matériel :1 batteur électrique
1 poche à douille 1 douille cannelée
1 plaque de cuisson
1 tapis de cuisson en silicone ou papier sulfurisé
1 cercle à pâtisserie
1 grand couteau à lame fine
saladiers et bols
1 spatule souple ou une maryse
1 robot multifonction
1 tamis ou un chinois
1 plat de service
Préparation des biscuits cuillères :
1. Préchauffez votre four à 150°C.
Faites décongeler les fruits rouges à température ambiante si ils étaient surgelés.
2. Cassez les oeufs et séparez les blancs des jaunes.
Montez vos blancs en neige à l'aide d'un batteur électrique.
3. Quand vos blancs deviennent mousseux, ajoutez le sucre et le colorant.
Montez vos blancs en neige ferme.
4. Ajoutez les jaunes et la farine tamisée.
Mélangez délicatement.
5. À l'aide de la spatule, remplissez votre poche à douille de pâte.
Sur une plaque de cuisson préalablement garnie d'un tapis de cuisson ou d'une feuille
de papier sulfurisé, pochez régulièrement des boudins de 5 cm environ.
Enfournez pendant 10-11 min en surveillant bien.
6. Sortez vos biscuits du four et laissez-les refroidir 2-3 min.
Badigeonnez-les à l'aide d'un pinceau trempé dans du sirop et tamisez le sucre glace dessus.
7. Coupez vos biscuit de la hauteur de votre bavarois et garnissez-en le tour.
Vous pouvez conserver vos biscuits restant dans du papier alu.
Préparation du disque de biscuit :
1. Préchauffez votre four à 150°C.
2. Cassez vos oeufs, séparez-les et montez vos blancs en neige
ferme en incorporant le sucre.
3. Mélangez le sucre vanillé avec les oeufs et versez cette préparation sur
vos blancs en neige et ajoutez la farine tamisée.
4. Mélangez délicatement de bas en haut à l'aide d'une spatule souple.
Sur une plaque de cuisson préalablement garnie d'un tapis de cuisson ou d'une feuille de papier sulfurisé,
posez un cercle à pâtisserie et garnissez-le de pâte à l'aide d'une cuillère.
Enfournez-le à 150°C pendant 15 min en surveillant bien.
5. Sortez votre gâteau du four et laissez-le refroidir 5 min avant de la démouler.
Découpez-le en 2 parts égales à l'aide d'un grand couteau à lame fine.
Nettoyez les palles du batteur et mettez-les, ainsi qu'un saladier, au frais pour la chantilly.
6. Enlevez la première partie que vous réserverez pour un autre dessert.
Disposez la deuxième partie sur un plat de service et décollez le gâteau du tapis/feuille, à l'aide du couteau.
Entourez avec le cercle et réservez.
Préparation de la mousse aux fruits rouges :
1. Mixez les fruits rouges mais gardez-en un peu pour le décor.
Filtrez les pépins à l'aide d'un tamis ou d'un chinois.
2. Vous obtenez ainsi un jus de fruits rouges.
Réhydratez les feuilles de gélatine dans de l'eau pendant 5 à 10 min.
3. Faites chauffez le jus de fruits rouges avec le sucre dans une casserole à feu doux.
Dès que le sirop commence à frémir, ajoutez la gélatine
pressée et mélangez hors du feu.
Réservez.
4. Versez la crème fraîche dans le saladier froid, préparez le sucre vanillé avec le fixe chantilly.
Montez votre crème en chantilly à l"aide d'un batteur électrique.
5. Ajoutez le fixe et le sucre et continuez à battre.
Dès que la chantilly est montée, ajoutez le jus de fruits rouges.
6. Mélangez délicatement de bas en haut à l'aide de la spatule.
Garnissez le cercle de mousse à l'aide d'une cuillère.
Réservez 5h ou une nuit au frais.
7. Sortez votre gâteau et badigeonnez-le de gelée de framboises.
Vous pouvez maintenant enlever le cercle.
Garnissez de biscuits cuillères et décorez selon votre goût.
Les Dates à Retenir
Le 03 Juillet : Fin des Votes pour l'Intersite (20h00).
Le 05 Juillet : Grande soirée avec les résultats de l'Intersite (20h00).
Le 14 Juillet : La Fête Nationale
Le Beau mec du Mois
La Vidéo du Mois
http://www.teepik.com/video-4370-compile des chats dejantes version longue.html
À Bientôt !!!